Carte postale du Népal - PEF

Nous insistons sur cette valeur au travers d'un nouvel épisode de COMMENCAL Insiders dans lequel notre ambassadeur Pierre-Edouard Ferry part à la découverte de la culture népalaise. En attendant la vidéo, suivez-le au travers de ses récits illustrés par notre photographe et vidéaste Samuel Decout.

COMMENCAL INSIDERS - PEF, à la rencontre du Népal

Nous insistons sur cette valeur au travers d'un nouvel épisode de COMMENCAL Insiders dans lequel notre ambassadeur Pierre-Edouard Ferry part à la découverte de la culture népalaise. En attendant la vidéo, suivez-le au travers de ses récits illustrés par notre photographe et vidéaste Samuel Decout.

Day 1 : "Code de la route très freeride"

Après quelques soucis de bagages à l'aéroport, le changement de culture est immédiat dès la première traversée citadine. PEF raconte : "A Katmandou, franchement c'est le bordel. Ils agrandissent la route d'un mètre de chaque côté et du coup, tout est en travaux. Des maisons sont réduites et des immeubles sont carrément détruits. Pas étonnant que beaucoup de locaux portent le masque pour ne pas avaler tout ce qui vole, Il n'y a pas franchement de code de la route, c'est assez freeride et j'avais l'impressions qu'on allait tuer quelqu'un toutes les 10 secondes !"

Mais pas le temps de trainer, PEF se fait prêter un META SX du magasin de Tanguy notre distributeur népalais et a pu découvrir un premier spot : "C'était une sortie façon Enduro avec Tanguy qui faisait notre guide touristique. Il s'est d'ailleurs blessé et se trouve sous antibiotique pour être certain de n'avoir rien chopé".

En relation avec une école locale, PEF a prêté mains fortes au chantier d'un Pumptrack qui doit être inauguré ce samedi. L'échange avec ces jeunes riders le fascine : "Je les aide pour le shape et j'essaye d'en expliquer les bases mais en 3 jours ce n'est pas évident. Sinon je les ai vu rouler et un jeune de 15 ans m'a bien impressionné. Après, les jeunes qui roulent ici sont issus d'un milieu assez aisé".

Mais le point sur lequel PEF a été le plus impressionné concerne leur culture du vélo. Rien ne leurs échappe : " On voit qu'ils ont une culture très basée sur le mode asiatique : ils regardent comment les pilotes roulent ailleurs et ils tentent de reproduire la même chose ici. C'est fou mais ils connaissent toutes les vidéos parues sur le net et ils me demandaient où est-ce qu'elles ont été tournées, comment c'était, comment roule tel ou tel pilote. Ils sont très curieux et vraiment intéressés, c'est incroyable. Et c'est épatant car même des jeunes de 5 ans parlent déjà très bien anglais, du coup, on peut vraiment bien échanger".

Dès aujourd'hui, PEF repartait "rouler dans les bois" et sur les sentiers du coin avec Tanguy. A quoi ressemblent les meilleurs spots népalais ? On le saura très vite ...