Retour aux fondamentaux du topic, moi aussi je raconte ma v..., euh, ma sortie. A priori ça devrait au moins intéresser notre ami VTT54...
En plus c'est pas dur, c'est tous les jours la même depuis 10 ans.
J'habite au milieu des vignes vers Montpellier. Je commence par monter jusqu'au point culminant, soit un bon 20 mètres de D+ en 3km, pondéré par le vent qui est souvent de face. Avec mon vélo FR largement DHisé, ça représente un effort dont il me faut 5 bonnes minutes pour me remettre avant d'attaquer la "descente". Mais comme le but est aussi de m'entretenir et de lutter contre le surpoids, aucun problème avec ça... Au passage un petit
pour les gens qui se plaignent qu'il y a trop de montée dans leurs sorties: à partir du moment ou tu reviens à ton point de départ, je vois pas bien ou est le problème puisque tu as autant de descente que de montée, donc qui dit plus de montée dit plus de descente aussi... La ruse étant de privilégier les parties goudronnées pour la montée, et la terre pour la descente.
A partir de là c'est le run sauvage: des jumps qui vont de minuscule à petit/moyen, l'immense majorité étant des step-down ou je saute depuis la vigne en terrasse sur le chemin qui se trouve jusqu'à 80cm dessous. Enorme!!! Ca marche très bien avec le vent dans le dos, beaucoup moins de face ou l'effort pour prendre un minimum de speed me coupe les jambes juste au moment de faire le hollie, avant que le vent ne m'arrête net en l'air. Mais c'est comme le ratio montée/descente: quel que soit le sens du vent, j'ai des jumps avec vent de face et d'autres dans le dos puisque je fais une boucle...
Bilan final: 7 ou 8 km pour 60 mètres de dénivelé cumulé environ, une quinzaine de jumps et un (1) virage relevé. Dans l'absolu c'est pas grandiose, mais ça me procure tous les soirs le même plaisir en attendant la ré-ouverture des bike-parks. Quant-au résultat sur ma ligne, c'est pas flagrant mais je me dis que ça ne pourrait être que pire si je le faisais pas!
inscrit le 25/08/12
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