Test Specialized Atlas

Contexte :

J’avais acquis un vélo d’enduro et je commençais à rouler de plus en plus fort, en plus de cela sur mes genoux il n’y avait déjà plus beaucoup de peau d’origine et même si ce n’est pas grave, c’est gênant de devoir passez 2 semaines avec des cataplasmes sur les genoux. Donc j’ai décidé d’acheter des genouillères. Un ami à moi avait des Spé Atlas et il me les a recommandés, elles paraissaient très légères et correspondait à ce que je cherchais : des genouillères que je puisse laisser ne place toute une journée de ride avec beaucoup de pédalage.

en Théorie :

Ces genouillères sont disponibles en plusieurs taille et je suis allé tester en magasin pour être sûr. La protection est assuré par une "coque" en mousse de quelques millimètres d’épaisseur et des 3 petits bouts de mousse sur chaque coté du genoux (ce que relativement peu de genouillères "light" proposent).

Sur le terrain

Elles s’enfilent bien et ne descendent que rarement vu qu’elles remontent assez sur la cuisse pour pouvoir la passer sous le bas du cuissard qui les maintient. Cependant la coque en mousse, se décolle de l’articulation quand la jambe est tendue à cause de sa petite rigidité. Mais elle reste positionnée de façon à protéger en cas de chute.

La protection est pour moi correcte, assez proche des fox enduro, elles résistent très bien à l’abrasion ce que j’ai pu tester à quelques reprise) ce qui était ce que je cherchais mais je pense qu’un choc sur des cailloux pointus sera quand même douloureux, elles font parties de la catégorie « légères » et sont moins épaisses que des endura singletrack lite par exemple.

Grâce à leur légèreté je n’ai jamais été gêné niveau chaleur, l’ai roulé tout l’été avec et même si je transpire dedans, la sensation n’est pas géante. Elles sont très bien aérés et sont ouverte sur l’intérieur du genoux.

Par contre après plusieurs grosses sorties consécutives, cela m'arrive d'être légèrement irrité sur le dessous de genoux, en effet l’extrémité interieur de la coque vient frotter ce qui peut être gênant au bout d'une longue journée mais cela ne m'a jamais vraiment gênè lors d'une sortie, c'est souvent sous la douche que je m'en rends compte.